Pour comprendre comment fonctionne un kaléidoscope, Quentin, dans le cadre du dispositif ASTEP, est venu dans la classe lundi 17 mai.
Nous essayons différentes idées. Par exemple Kassim et Tino proposent de prendre un rouleau de papier toilette, de la peinture noire, un œilleton et un « truc » rond pour le coller.
« ça va pas »: « il faut des formes » Tino
« c’est trop noir » « Il n’y a pas de lumière » Anya
Alors il faut de la peinture blanche sur le rond (Nihal Lina) Ça ne va toujours pas… Il faut mettre le blanc de l’autre côté (Sayaline), il faut du transparent (Nihal Lina)
Nous défaisons un kaléidoscope que Quentin avait fabriqué. Voici ce que nous trouvons dans un kaléidoscope:
On a essayé de fabriquer un kaléidoscope. Il faut du papier miroir (TIM), dans un triangle jaune (Camille). Il faut un œilleton (Camille). Un rouleau en carton. Des perles (Camille). Il faut deux plastiques ronds encore. (Tim). Ils sont transparents.
Nous en profitons pour faire des ateliers autour de la vue: voir à travers des rouleaux, des matériaux transparents, translucides et colorés, un appareil photo, des loupes…
Nous faisons aussi un atelier où il faut reconnaître des formes uniquement par le toucher, sans les voir.